Une majorité de Français citent spontanément les attaques de novembre 2015 parmi les attentats terroristes les plus marquants depuis l’an 2000, loin devant les attentats de janvier L'une des hypothèses avancées pour expliquer ce décalage est la « surmédiatisation » dont l'attaque du Bataclan aurait fait l'objet. L'INA a examiné cette proposition, chiffres à l'appui.